La quatrième saison de The Flash a commencé en octobre sur les écrans américains et est actuellement en pause jusque mi-janvier, l’occasion pour nous de revenir sur cette première partie de saison. Qu’est-ce qui nous a plu ? Qu’est-ce qui nous a moins plu ? Et quelles sont nos attentes pour la suite ?
Un démarrage un peu rapide
Il est vrai que Barry Allen est « the fastest man alive » et il est évident que la série ne pouvait pas se passer de son héros bien longtemps, cela dit, son retour s’est peut-être avéré un tantinet rapide. Après son départ dans la ‘Speed Force’ en mai, on s’attendait tous à revoir Barry dès le début de la saison 4 et si, comme nous nous en doutions, son retour à Central City ne s’est pas fait attendre, sa réadaptation s’est également faite à la vitesse de l’éclair. Même si voir Barry tourmenté nous brise le coeur, il semble que ses séquelles présentes dans le season premiere, se soient bien vite et facilement envolées alors qu’il aurait peut-être été judicieux de les explorer davantage.
Plus d’humour
Après une troisième saison aux allures plus sombres et à l’ambiance plus pesante, c’est agréable de retrouver un peu de légèreté. Les personnages en avaient besoin et la série prouve cette fois que l’humour aussi lui réussit plutôt bien. De nombreux épisodes de cette première partie de saison en sont donc parsemés, on découvre Barry et la team dans des situations parfois loufoques. On se souvient notamment d’Harry et ses doubles ou encore de Barry qui binge watch Game Of Thrones en 3 secondes, sans oublier l’arrivée d’un nouveau personnage qui a également apporté son lot d’humour. Attention toutefois à ne pas en abuser aux dépens des intrigues.
Le vilain de la saison
Un point intéressant concernant le méchant de cette saison : il ne s’agit pas d’un ‘speedster’ comme c’était le cas les trois années précédentes. La vitesse de Barry ne semble donc pas être son atout principal dans son combat contre DeVoe. Le super héros devra redoubler d’efforts et primer la réflexion si il veut s’en sortir contre ce nouvel ennemi qui semble toujours avoir un coup d’avance. Le mid season finale l’a d’ailleurs démontré et souligné avec son titre : ‘Don’t Run’.
Changements au sein de la Team Flash
Cette saison compte d’ores et déjà deux départs au sein de la Team Flash, celui de Julian (Tom Felton), que l’on déplore car son personnage était un réel atout à la série et il nous manque déjà, et celui de Wally. Deux départs relativement soudains, on n’a même pas eu l’occasion de dire au revoir à Julian. On nourrit donc secrètement l’espoir de le revoir un jour à Central City.
On compte également une arrivée, et pas des moindres, cette année. En effet, dans le quatrième épisode de cette nouvelle saison, on a fait la connaissance de Ralph Dibny, un ancien collègue de Barry devenu meta humain et dont les capacités s’avèrent être plutôt flexibles. Un nouveau personnage qui, avec son humour et son côté attachant, a vite su gagner le coeur des fans. Sa présence contribue en effet à apporter une touche drôle et plus légère que cette première partie de saison tend à développer.
Pour résumer, cette première moitié de saison était donc riche en humour et en rebondissements. La série tente de revenir à ses bases tout en incorporant des éléments nouveaux et jusqu’à présent, on n’est pas trop mécontents du résultat. Cette saison a également compté un crossover spectaculaire avec les autres séries de l’Arrowverse dans lequel Barry et Iris se sont mariés. On est maintenant curieux de voir ce que cette deuxième partie de saison nous réserve, pas sûre que l’humour y sera aussi présent.
3 choses qu’on aimerait voir dans cette deuxième partie de saison
- Le parallèle entre Barry et son père, tous deux emprisonnés à tort, exploré.
- Le développement du personnage d’Iris mieux défini. On ne voit pas toujours où les scénaristes veulent en venir avec elle.
- L’intrigue de Caitlin et Killer Frost approfondie.
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